La Ciot'Art
LA CIOT’ART
Accueillez l’art dans votre entreprise.
Notre objectif : rendre l’art accessible !
Art Investissement a le plaisir de vous annoncer un nouveau partenariat avec La Ciotat Entreprendre, Association dynamique, qui réunit plus de 300 entreprises Ciotadennes.
Stimuler l’émotion au quotidien par la présence d’œuvres d’art qui rendront votre lieu de travail unique comme vous !
C’est le pari que nous prenons, en lançant.
L’opération la Ciotat’Art,
Le concept est simple :
Nous exposons gracieusement et sous notre responsabilité des œuvres d’art sélectionnées sur une période de 2 mois afin de les partager avec vos collaborateurs, partenaires et clients.
À l’issue de cette période, libre à vous de poursuivre cette aventure par le biais d’une location pure, une LOA ou tout simplement en faisant l’acquisition.
Vous pouvez également rendre cette œuvre, mais sachez déjà que vous ferez de nombreux malheureux.
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Philippe Le Guillou
Ce breton est fasciné par les pierres, les menhirs, les dolmens qui stimulent son imaginaire et son inspiration. Son père, souvent parti en mer lui laisse son établi et de ses outils. A 17 ans, il s'attaque à une bûche en chêne, au ciseau à bois et à la perceuse, sa première sculpture. A 24 ans, dans la forêt magique de Brocéliande, il sculpte des souches tortueuses. Après de longs voyages, il s'installe à la Cadière d'Azur.
C'est à travers ses nombreux voyages que Philippe a trouvé son inspiration. Aux USA, il a découvert les totems d'Art des Indiens natifs et au Maroc, les artisans d'Essaouira l'ont encouragé comme artiste.
L'Art de la sculpture est présent partout : les temples Sri Lankais, les Tikis polynésiens, les tombeaux mahafale malgaches ou les pirogues maoris.
Les masques de l'Art africain l'ont profondément ému avec leur charge émotionnelle et mystique. Depuis sa tendre enfance, il observe le ciel, la géométrie des astres et des galaxies tout comme des molécules, question d'échelle. Pour lui, le meilleur artiste est la Nature, les rochers sculptés par le vent de l'Antarctique, les formations rocheuses du Tassili ou une simple mare de boue séchée offrent autant que la mer, tant d'inspiration.
Il est admiratif de nombreux artistes comme Andy Goldsworthy, Matta, Eduardo Chillida, Archipenko, Constantin Brancusi, Marx Ernst, César, Antony Gormley, Armand..., et les maîtres de l'Art aborigène contemporain.
Tous les matériaux le passionnent, chacun avec leur spécificité. Il a commencé par les métaux de construction comme le cuivre, l'étain, le laiton, l'acier et plus récemment l'acier Corten qui est un alliage oxydé mais stable, résistant et imprévisible. C'est pour lui le matériau qui le choisit avec ses exigences.
« C'est un combat, on essaie de dominer, mais on obtient finalement autre chose que ce qu'on a imaginé ». -
Philippe Arène-Domenge
Je dessine depuis ma tendre enfance et peins depuis mes 16 ans, suis passé par l’Atelier Penninghen et l’Académie Julian.
J'ai exploré figuration et abstraction en différents styles et différentes techniques, mais en 2014, j'ai fait une remise en question volontaire de mon travail, pour décider d'aller à l'essentiel : peindre ce que j'aime, les émotions, et le faire avec exigence pour me forcer à chercher et à avancer... donc, confronter la facture et la représentation, l'abstraction et l'émotion.
Pour ne pas me mentir à moi-même en réalisant plusieurs fois le même tableau dans des formats différents, reculant ainsi le vrai travail de recherche par facilité, j'ai décidé, d’une part, de peindre des visages et leurs émotions, et d’autre part des abstractions, et des paysages abstraits en une cohérence de style avec les portraits, en utilisant la même technique, la même manière, toujours dans un format carré de un mètre par un mètre.
Ainsi, ces strictes exigences me contraignent à toujours inventer, sans trop pouvoir utiliser d'artifices.
En espérant que cette méthode porte ses fruits !
Philippe ARÈNE-DOMENGE
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Céline Sassatelli
Le collage c’est « l’art en mouvement qui met la peinture au défi » comme le soulignait Aragon.
Pour moi il résulte d’une impulsion irrépressible et d’un élan vital qui puise dans ma mythologie personnelle.
Déchirer, froisser, coller, plier c’est écrire avec des images, c’est peindre sans dessiner , c’est inventer un monde, c’est "coller" au monde.
Artiste autodidacte, je collectionne les images depuis toujours, j'utilise de vieux journaux d'époque, des magazines, des livres d'où je tire mes modèles.Je retrouve toujours le besoin de composer avec 4 éléments:Les affiches ou les pages de magazine déchirées découpées morceléesles fonds graphiques entre 50 et 60 avec des formes géométriques, des harmonies de couleur, un esthétisme universella femme (des années 30 aux années 70) -
Odile Eckenschwiller
Plus je laisse mes yeux, à l’intérieur de moi s’exprimer, plus ils regardent et voient, dans tous les méandres qui me composent.
Des mondes partout apparaissent.
Mon corps et mes esprits du dedans sont infinis.
Mes mains qui dessinent sont des télescopes qui explorent,
qui traduisent, qui commentent.
Je découvre cette impatience de voir plus loin
pour offrir à mon esprit les pépites d’un univers plus profond,
dont l’inconscience me rend plus souriante. -
Michael Viviani
Michael Viviani est né en 1981 à La Ciotat.
En 2003, il obtient un diplôme en communication visuelle et en arts graphiques de l’école Axe Sud à
Marseille.
Son travail est fortement inspiré par des affiches cinématographiques et musicales, qu’il utilise pour reproduire méticuleusement la vie d’un panneau d’affichage de rue. Sa pratique, notamment la lacération, s’est développée à travers une myriade de techniques de peinture combinées avec des textes. Naviguant entre présent et passé, son travail plaît à nos yeux par l’illusion et la superposition de collages. Viviani parvient harmonieusement à fusionner une abondance d’affiches déchirées dans un nouveau récit, qui présente avec sincérité un moment figé dans le temps au spectateur.
L’artiste s’est diversifié dans de nouveaux médiums comme la sculpture et le mobilier avec un clin d’oeil à la technologie. -
Gilbert Ganteaume
Gilbert Ganteaume est un peintre et sculpteur français né le 12 octobre 1932 à La Ciotat. Son œuvre se développe dans une intention représentative en utilisant les moyens de l'abstraction et du matiérisme. Issu d'une vieille famille ciotadenne, né à la cité ouvrière (rasée en 1974), Gilbert Ganteaume est reçu en 1946 à l'école d'apprentissage des chantiers navals où enseigne son père. Il y apprend à travailler le métal, à découper, souder, percer, façonner le fer à la forge, et obtient un CAP de traceur de coques. A 35 ans il s’éveille à la culture et sa femme lui offre les premiers pinceaux. Son âme d’artiste se révèle et il crée un style qui lui est propre et qui évoluera constamment. Sa force : la matière, les épaisseurs, les collages. A travers ses peintures et sculptures, résonne l’histoire de La Ciotat. Une dizaine de ses œuvres parcourt la ville (mémorial pour les victimes de l’amiante, tableaux dans l’église. Monument pour la paix etc)
En 2023, les navires géants construits pendant sa vie professionnelle ressurgissent de ses mains sous forme de sculptures, et les transformations du site naval reconverti prennent vie dans ses tableaux aux couleurs optimistes, en écho à la renaissance du redémarrage du site.